Judith d'Orbe est marquée au détour d'un voyage par une plage des Asturies. Là se mêlent strates et courbes, couleurs et matières. Ce paysage rentre en résonance avec son chemin de création. Depuis, elle ne cesse de reproduire, cherche à assembler, entrelacer les couches visibles et invisibles. Les couleurs et leurs intensités, la matière et sa malléabilité. Les Beaux Arts lui ouvrent le regard, elle chemine ensuite vers l'architecture du paysage, qui contribue à développer un travail organique, presque topographique où se tissent lignes et contours, courbes et creux.
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